Prendre sa retraite au Mexique : Le guide complet de 2025

Trocquer la grisaille pour le soleil du Mexique, transformer sa retraite en une aventure culturelle et voir son pouvoir d’achat augmenter : le rêve est à portée de main. Mais pour que ce projet de vie devienne une réussite durable, une préparation rigoureuse s’impose. Entre les démarches de visa, le choix d’une assurance santé performante et l’optimisation de votre patrimoine, les questions sont nombreuses. Ce guide complet 2025 est votre feuille de route : nous décortiquons chaque étape, du budget réel aux meilleures villes où s’installer, pour faire de votre expatriation au Mexique une évidence.

Les points clés à retenir :

  • Un pouvoir d’achat augmenté : profitez d’un coût de la vie en moyenne 37% inférieur à la France, vous permettant de vivre mieux avec votre pension en euros.
  • Le visa de résident temporaire : c’est la voie d’accès principale pour les retraités, accessible sur preuve de revenus ou d’épargne, et renouvelable jusqu’à 4 ans.
  • La santé, un choix stratégique : le système privé offre des soins d’excellence. Une assurance santé internationale est indispensable pour une couverture efficace.
  • Des destinations pour chaque projet : du pôle artistique de San Miguel de Allende à la tranquillité de Mérida, choisissez un cadre de vie adapté à votre budget et vos envies.
  • Anticipation patrimoniale : une préparation en amont est important pour optimiser votre fiscalité, protéger votre capital du risque de change et sécuriser votre transmission.

Pourquoi choisir le Mexique pour sa retraite ?

Le Mexique évoque un art de vivre fait de soleil et de découvertes. Cette promesse attire de nombreux retraités français, séduits par la perspective d’optimiser leur budget sans sacrifier leur confort.

Un cadre de vie attractif et un coût de la vie maîtrisé

Le Mexique ne se résume pas à ses plages ; il offre un écosystème complet, particulièrement adapté aux attentes des retraités.

  • Une mosaïque de climats : le pays est un véritable continent en miniature. Vous pouvez opter pour la chaleur tropicale et humide du Yucatán, la douceur quasi printanière du lac Chapala toute l’année, ou encore le climat tempéré et sec des hauts plateaux de San Miguel de Allende. Seule contrainte objective : la saison des ouragans, qui s’étend généralement de juin à novembre sur les côtes atlantique et pacifique, un facteur à intégrer dans le choix de votre lieu de vie.
  • Une sécurité à deux visages : si les statistiques nationales peuvent inquiéter, la réalité sur le terrain est très contrastée. Penser que tout le Mexique est dangereux serait comme éviter de visiter Paris en se basant sur les faits divers d’une autre région française. Des zones prisées par les expatriés comme Mérida (péninsule du Yucatán) ou San Miguel de Allende (Guanajuato) affichent des taux de criminalité parmi les plus bas du continent. L’Indice de Paix Mexique (Mexico Peace Index) confirme chaque année que des États comme le Yucatán et la Basse-Californie du Sud sont des havres de paix.
  • Une richesse culturelle et pratique : vivre au Mexique, c’est s’offrir un quotidien stimulant. Entre les sites archéologiques mayas ou aztèques, une gastronomie classée au patrimoine immatériel de l’UNESCO et une scène artistique dynamique, les occasions de s’émerveiller sont infinies. La proximité géographique avec les États-Unis et le Canada facilite également les voyages pour visiter la famille.

Le budget détaillé : un pouvoir d’achat retrouvé

L’un des arguments les plus puissants en faveur du Mexique reste l’avantage financier. Pour le quantifier précisément, analysons les chiffres issus de la base de données collaborative Numbeo pour l’année 2025.

  • Indice global : le coût de la vie, en incluant le loyer, est 36,9 % plus bas au Mexique qu’en France. Pour une personne seule percevant une pension en euros, cela se traduit par une augmentation très nette du pouvoir d’achat au quotidien.
  • Logement : les loyers au Mexique sont en moyenne 25,0 % inférieurs à ceux de la France. Cet écart est notable pour un appartement d’une chambre, que ce soit en centre-ville (-22,6 %) ou en périphérie (-32,7 %). Cette différence est souvent encore plus marquée dans les villes prisées des retraités, en comparaison des grandes métropoles françaises.
  • Restauration : manger à l’extérieur devient un plaisir bien plus accessible, avec des prix au restaurant en moyenne 37,0 % plus bas. Un repas simple dans un restaurant bon marché ou un dîner pour deux dans un établissement de milieu de gamme coûtent tous deux environ 39,1 % de moins qu’en France.
  • Courses alimentaires : le panier de courses global est 39,0 % plus abordable au Mexique. Il faut toutefois noter des nuances : certains produits comme le lait (+13,5 %) ou le pain frais (+27,7 %) peuvent s’avérer plus chers. En revanche, les économies sont massives sur les produits frais locaux, notamment la viande (poulet à -44,0 %, bœuf à -48,5 %), le fromage local (-57,3 %) et de nombreux légumes comme la tomate (-48,4 %).
  • Transports & services : les charges fixes représentent un pôle d’économies majeur. Un abonnement mensuel aux transports en commun est 62,6 % moins cher, tandis que les charges de base (électricité, eau, chauffage…) pour un appartement de 85m² sont inférieures de 70,0 %. Le prix de l’essence est également plus doux, avec une baisse de 37,4 %.
  • Revenus & pouvoir d’achat : le pouvoir d’achat local au Mexique est 57,2 % inférieur à celui de la France, car le salaire net moyen y est aussi plus bas de 73,0 %. Cependant, ce chiffre ne s’applique qu’à une personne percevant un salaire mexicain. Pour un retraité dont la pension est versée en euros, la situation est totalement inversée : c’est le différentiel du coût de la vie qui prime, rendant son pouvoir d’achat considérablement plus élevé.

En pratique, même si le coût de la vie mexicain est globalement très avantageux, une bonne gestion budgétaire reste nécessaire, notamment si vous souhaitez conserver des habitudes de consommation de produits importés, qui restent onéreux.

Visa pour retraités au Mexique : le guide complet

Clarifions un point avant toute chose : le Mexique ne propose pas de visa spécifiquement intitulé “retraité”. L’expatriation pour les seniors repose sur l’obtention d’un visa de résidence prouvant votre “solvabilité économique” (solvencia económica). La procédure, rigoureuse, se déroule en deux temps : d’abord en France auprès du consulat mexicain, puis au Mexique pour finaliser votre statut. Voyons les deux options qui s’offrent à vous.

Le visa de résident temporaire : la voie royale pour les retraités

Pour la majorité des retraités, le parcours commence par le visa de résident temporaire (Visa de Residente Temporal). Considérez-le comme votre billet d’entrée : il vous autorise à vivre au Mexique pour une première année, sans y travailler. Il est ensuite renouvelable directement sur place pour une période additionnelle d’un, deux ou trois ans, vous menant à un total de quatre ans de résidence. C’est seulement après cette période que vous pourrez prétendre à la résidence permanente.

Pour être éligible, vous devez prouver disposer de ressources financières suffisantes. Les montants sont indexés sur une unité de mesure mexicaine (l’UMA) et varient donc chaque année.

OptionRevenus Mensuels Nets (6 derniers mois)Épargne / Investissements (moyenne sur 12 mois)
Demandeur seul≈ 2 800 €≈ 46 000 €
Conjoint additionnel+ ≈ 700 €(non applicable)

Attention : ces montants sont indicatifs et doivent impérativement être vérifiés sur le site officiel du consulat du Mexique en France avant de déposer votre dossier.

La procédure se déroule en quatre étapes :

  • Prise de rendez-vous en ligne auprès de la section consulaire de l’ambassade du Mexique en France.
  • Dépôt du dossier en personne le jour du rendez-vous, avec tous les justificatifs requis (passeport, relevés bancaires prouvant vos revenus ou votre épargne, etc.).
  • Obtention du visa collé dans votre passeport, valable pour une seule entrée au Mexique.
  • Échange du visa contre une carte de résident temporaire. Cette démarche, appelée canje, est obligatoire et doit être effectuée dans les 30 jours suivant votre arrivée sur le territoire mexicain auprès d’un bureau de l’Institut National de Migration (INM).

Le Visa de Résident Permanent : la stabilité à long terme

La résidence permanente (Residencia Permanente) est l’objectif final pour une installation durable. Elle s’obtient principalement de deux manières :

  • Après 4 ans de résidence temporaire continue.
  • Directement depuis la France, si vous pouvez justifier de revenus mensuels nets plus élevés (une pension ou des rentes d’environ 4 600 € par mois, montant à vérifier au consulat).

Les avantages sont considérables : la carte de résident permanent n’a pas de date d’expiration et vous dispense de tout renouvellement. De plus, elle vous confère le droit de travailler si vous le souhaitez, à condition d’en notifier formellement l’INM.

Accompagnement gratuit

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Où s’installer au Mexique ? Top 5 des villes pour les retraités

L’archipel mexicain offre une extraordinaire diversité de paysages et d’ambiances. Que vous rêviez d’une vie artistique dans les hauteurs coloniales ou de la brise marine des Caraïbes, il existe une destination adaptée à votre budget et à votre style de vie. Pour vous aider à vous projeter, voici une sélection de cinq villes plébiscitées par les retraités expatriés.

DestinationAtouts principauxProfil idéal
San Miguel de AllendeCommunauté artistique, sécurité, architecture colonialeAmoureux de culture, budget élevé (≈ 1 800 €)
Lac Chapala (Ajijic)Plus grande communauté d’expats, climat parfait, services anglophonesRetraités cherchant une vie sociale active (≈ 1 400 €)
Mérida (Yucatán)Sécurité record, culture maya, coût de la vie très basBudget maîtrisé, amateurs de chaleur et d’authenticité (≈ 1 100 €)
Puerto VallartaPlage & montagne, vie citadine animée, aéroport internationalRetraités actifs, amateurs d’océan et de vie nocturne (≈ 1 600 €)
Playa del CarmenStyle de vie balnéaire, proximité de Cancún, modernitéAmateurs de plages, budget flexible, recherche d’un cadre international (≈ 1 700 €)

San Miguel de Allende : le joyau colonial des artistes

Classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, cette ville des hauts plateaux est célèbre pour ses rues pavées, son architecture baroque et sa scène artistique foisonnante. Elle offre un niveau de sécurité très élevé et une vie culturelle riche, attirant des retraités au budget confortable en quête d’un cadre de vie raffiné. L’élégance de ses galeries d’art et de ses restaurants en fait un choix privilégié pour les amoureux de culture.

Lac Chapala (Ajijic) : le havre anglophone au climat idéal

Nichée sur les rives du plus grand lac du Mexique, la ville d’Ajijic abrite la plus importante communauté de retraités nord-américains du pays. Son climat, considéré comme l’un des meilleurs au monde, et la présence de nombreux services en anglais (médecins, commerces) facilitent grandement l’intégration. C’est la destination parfaite pour ceux qui cherchent une vie sociale active et un quotidien simplifié par la barrière de la langue quasi inexistante.

Mérida : la capitale yucatèque, entre sécurité et culture maya

Régulièrement citée comme la ville la plus sûre du Mexique, Mérida est un pôle de tranquillité au cœur de la péninsule du Yucatán. Son coût de la vie très bas, son héritage culturel maya omniprésent et sa proximité avec des sites naturels d’exception séduisent les retraités au budget maîtrisé. La chaleur peut y être intense, mais la qualité de vie et l’authenticité de cette ville en pleine croissance en font une option de plus en plus populaire.

Puerto Vallarta : l’alliance du Pacifique et de la vie urbaine

Cette station balnéaire combine à merveille le charme d’une vieille ville pittoresque et le dynamisme d’une métropole moderne, le tout niché entre l’océan Pacifique et les montagnes de la Sierra Madre. Dotée d’un aéroport international bien desservi, elle est idéale pour les retraités actifs qui ne veulent pas choisir entre la plage, les activités de plein air et une offre culturelle et gastronomique de premier plan.

Playa del Carmen : la modernité balnéaire des Caraïbes

Située sur la Riviera Maya, « Playa » offre un style de vie résolument tourné vers la mer des Caraïbes, avec une ambiance plus moderne et internationale que sa voisine Cancún. Ses infrastructures récentes, sa célèbre avenue piétonne « Quinta Avenida » et sa forte communauté d’expatriés européens en font un choix de prédilection pour les amateurs de plages. Le budget y est plus flexible, permettant de s’adapter à différents niveaux de vie.

Système de santé au Mexique : IMSS, privé et assurances internationales

Aborder la question de la santé est une étape non négociable de votre projet d’expatriation. Le Mexique dispose d’un système à deux vitesses : un secteur public accessible mais aux prestations variables, et un secteur privé d’excellente qualité, mais qui requiert une couverture financière adéquate.

Le système public (IMSS) : une option limitée pour les retraités

En tant que résident, il est possible de vous inscrire volontairement à l’Institut Mexicain de Sécurité Sociale (IMSS). Si cette option semble séduisante par son coût modéré, elle présente des inconvénients majeurs qui la rendent déconseillée comme seule et unique couverture pour un retraité. Les délais d’attente pour les consultations spécialisées ou les interventions non urgentes peuvent être très longs, la barrière de la langue est une réalité dans la plupart des établissements, et surtout, de nombreuses maladies préexistantes sont exclues de la couverture durant les premières années d’affiliation.

Le secteur privé : l’excellence à un coût accessible

Pour la majorité des expatriés, le secteur privé est la référence. Le Mexique est réputé pour la qualité de ses infrastructures médicales privées, avec des réseaux d’hôpitaux comme Hôpital Angeles ou Star Médica qui n’ont rien à envier aux standards européens. Vous y trouverez des équipements de pointe, des équipes médicales souvent formées aux États-Unis et un personnel administratif anglophone.

Même sans assurance, les tarifs restent bien plus accessibles qu’en France. À titre d’exemple, une consultation chez un spécialiste coûte entre 40 et 60 €, et une imagerie par résonance magnétique (IRM) avoisine les 250 €.

L’assurance santé : la clé de votre tranquillité

Pour profiter sereinement du système privé sans jamais vous soucier des dépenses, la souscription à une assurance santé internationale est indispensable. Pensez-y comme à un « pass sanitaire VIP » : elle vous ouvre les portes des meilleures cliniques du pays pour tous types de soins, du simple contrôle à l’hospitalisation complexe, sans avance de frais importante.

Nous recommandons fortement d’opter pour une couverture solide, comme une adhésion à la Caisse des Français de l’Étranger (CFE) complétée par une bonne assurance complémentaire, ou une assurance privée internationale « au premier euro » auprès d’organismes reconnus.

L’optimisation fiscale pour expatriés au Mexique

Une fois votre visa et votre destination choisis, la fiscalité devient le pilier de la pérennité de votre projet. Heureusement, la convention fiscale signée entre la France et le Mexique a été conçue pour vous éviter une double imposition. Pensez à cette convention comme à un arbitre qui désigne quel pays a le droit de taxer vos différents revenus, afin que vous ne payiez jamais deux fois l’impôt sur la même source de revenu.

Imposition des pensions de retraite : le principe de base

La règle dépend de l’origine de vos pensions. Une distinction fondamentale est à faire :

  • Les pensions privées (issues d’une carrière dans le secteur privé, salarié ou indépendant) sont imposables uniquement au Mexique dès lors que vous y devenez résident fiscal.
  • Les pensions publiques (retraites de la fonction publique française) restent imposables uniquement en France. Le Mexique appliquera alors un crédit d’impôt pour neutraliser une éventuelle imposition locale sur ce même revenu.

Quand devient-on résident fiscal mexicain ?

La bascule s’opère si vous remplissez l’une des deux conditions suivantes :

  • Vous séjournez au Mexique plus de 183 jours sur une année civile.
  • Vous établissez au Mexique le centre de vos intérêts vitaux, c’est-à-dire que plus de 50 % de vos revenus proviennent de sources mexicaines ou que le centre de vos activités professionnelles s’y trouve. Pour un retraité, c’est principalement le critère des 183 jours qui s’applique.

Maîtriser ces règles fiscales est la première étape. Mais pour transformer ces avantages en une stratégie durable, une préparation patrimoniale en amont est indispensable.

Préparer son patrimoine pour votre expatriation au Mexique

Il s’agit de sécuriser votre pouvoir d’achat, de générer des revenus complémentaires et d’anticiper la transmission. C’est précisément sur ces points que l’accompagnement d’un conseiller en gestion de patrimoine prend tout son sens.

Pourquoi anticiper votre stratégie patrimoniale ?

Quitter la France modifie votre rapport à l’épargne. Sans une bonne préparation, vous vous exposez à trois risques majeurs :

  • Le risque de change : votre pension sera versée en euros, mais vos dépenses seront en pesos mexicains (MXN). Une baisse de l’euro face au peso pourrait éroder votre pouvoir d’achat au fil des ans.
  • La dépendance à une seule source de revenus : se reposer uniquement sur sa pension peut être risqué. Mettre en place des revenus passifs (loyers, dividendes, rachats programmés) vous offre une sécurité et une flexibilité indispensables.
  • L’imprévu financier : les coûts de santé, même couverts par une bonne assurance, ou les projets personnels (voyages, achat immobilier) nécessitent des liquidités disponibles et optimisées.

Les placements à privilégier avant le grand départ

Certaines enveloppes patrimoniales sont particulièrement adaptées à une expatriation. Elles permettent de concilier flexibilité, optimisation fiscale et préparation de votre succession.

  • L’assurance-vie internationale : c’est la solution patrimoniale de référence. Sa gestion multidevise protège votre capital des fluctuations du taux de change euro/peso. Elle offre une fiscalité optimisée, parfaitement adaptée à votre statut de non-résident, tout en assurant une transmission de patrimoine sécurisée et avantageuse pour vos bénéficiaires. C’est le placement le plus complet pour allier performance, protection et tranquillité d’esprit.
  • Le contrat de capitalisation : il possède des atouts uniques pour une stratégie patrimoniale avancée. Sa grande différence réside dans la transmission : contrairement à l’assurance-vie, il peut être donné de votre vivant (en pleine propriété ou avec réserve d’usufruit), offrant une souplesse inégalée pour anticiper votre succession. En cas de décès, le contrat n’est pas dénoué : il intègre votre patrimoine successoral et est transmis à vos héritiers, qui conservent son antériorité fiscale. De plus, il est accessible aux personnes morales, ce qui permet des montages plus complexes.
  • Le compte-titres ordinaire (CTO) : c’est l’instrument idéal pour diversifier vos investissements sur les marchés internationaux et générer des revenus complémentaires sous forme de dividendes. Il vous donne accès à un univers d’investissement très large, mais une gestion avisée reste indispensable pour optimiser la fiscalité sur les plus-values en tant que non-résident.
  • L’immobilier au Mexique : acquérir votre résidence principale peut sécuriser vos dépenses de logement à long terme. Il faut cependant connaître les spécificités locales, notamment le fideicomiso, un trust bancaire obligatoire pour tout étranger souhaitant acheter un bien dans une « zone restreinte » (à moins de 100 km des frontières et 50 km des côtes). C’est un montage juridique sûr mais qui nécessite un accompagnement pour être mené à bien.

Accompagnement gratuit

L’optimisation des revenus à l’étranger, en particulier en ce qui concerne la fiscalité, représente un élément déterminant pour les retraités. Profitez dès à présent d’un rendez-vous avec l’un de nos conseillers afin qu’il puisse vous guider dans vos questionnements. Je réserve mon créneau !

Les questions les plus posées

Puis-je conduire au Mexique avec mon permis français ?

Oui, votre permis de conduire français est accepté pour les séjours touristiques et les premiers mois de résidence. Il est toutefois recommandé d’obtenir un permis de conduire international ou, pour une installation durable, de le convertir en permis mexicain.

Comment ouvrir un compte bancaire au Mexique en tant que retraité ?

Une fois votre carte de résident temporaire ou permanent obtenue, vous pouvez ouvrir un compte dans la plupart des grandes banques (BBVA, Santander, Banorte) avec votre passeport, votre carte de résident et un justificatif de domicile.

Puis-je emmener mon animal de compagnie (chien, chat) au Mexique ?

Oui, le processus est relativement simple. Il vous faudra un certificat de bonne santé récent émis par un vétérinaire et un carnet de vaccination à jour, notamment contre la rage.

Comment se passe le renouvellement de la carte de résident temporaire ?

Le renouvellement se fait directement au Mexique, auprès d’un bureau de l’INM. La procédure est administrative et doit être initiée avant l’expiration de votre carte actuelle.

Est-il possible de créer une petite entreprise en tant que résident permanent ?

Oui, le statut de résident permanent vous autorise à travailler ou à créer une entreprise. Il suffit de vous enregistrer auprès de l’administration fiscale mexicaine (SAT).

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